Le Temps à Kyoto
Genre: Romance paranormale japonaise
Laureanne n'était encore jamais partie au Japon. Alors, lorsqu'on lui propose de visiter Kyoto avec l'agence de voyage qui l’emploie, elle n'hésite pas une seule seconde. Toutefois, en se rendant sur un des plus beaux sites historiques du pays du soleil levant, elle ne se serait jamais imaginée y rester coincée ! À cause de la météo imprévisible, son équipe est forcée à rester sur place pendant plusieurs nuits. Laureanne, qui pensait profiter de l'occasion pour se plonger dans la culture japonaise, se trouve alors propulsé chaque soir dans une dimension ancienne et énigmatique. On l'y attend pour démêler un mystère centenaire et elle ne pourra pas quitter Kyoto avant de l'avoir résolu. Son cœur trouvera-t-il la bonne voie avant qu’il ne soit trop tard ?
Pourquoi lire Le Temps à Kyoto ?
1 - La romance se développe tout en douceur et sans prise de tête.
2 - L’héroïne est optimiste, joyeuse et enthousiaste.
3 - Une enquête surnaturelle vous entraînera dans le Japon médiéval.
Extrait 1: Elle prit une gorgée de sa tasse avec un sourire aux lèvres. — Nous vous reverrons de bien nombreuses fois à partir de maintenant, m’assura-t-elle avec un petit mouvement de tête. — Pardon ? Je m’avançai doucement pour m’assurer que j’avais bien entendu ce qu’elle venait de me dire. — Trouver le meurtrier de ma chère fille vous demandera de nous rendre visite souvent. — Votre fille ? Mon interlocutrice passa une main sur ses cheveux grisonnants tirés en chignon. Des broches et baguettes en or recouvertes de pierres précieuses ornaient sa coiffure, servant à faire part de sa grande richesse. — Oui, vous avez accepté d’enquêter au sujet de sa mort.
Extrait 2: En relevant le visage vers celui de Hikari, je remarquai qu'il me fixait. Puis, lorsqu'il me sourit chaleureusement comme il le faisait si souvent, mon cœur bondit dans ma poitrine. J'ouvris ma bouche, mais aucun mot n'en sortit. Ses cheveux aux reflets roux légèrement ébouriffés scintillaient sous la lumière jaune de la bibliothèque et ses lèvres rosées laissaient entrevoir ses dents blanches et droites. Ses clavicules saillantes, quant à elles, étaient visibles à travers l'ouverture du col de sa chemise bleu ciel. Il était sans le moindre doute un bel homme que je prenais un malin plaisir à détailler, même si je savais que c’était mal. L'instant parut durer une éternité et je sentais la chaleur me monter aux joues. Une sensation étrange naquit dans mon ventre en même temps que mes muscles commençaient à s'affaisser peu à peu. Je ne savais pas quoi faire mis à part lui sourire bêtement. — Laureanne ? La voix de Hikari me sortit de mes pensées.
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